Du nom d’André Maginot, le ministre de la Guerre.
De 1928 à 1940, la France a mis en place une ligne de fortifications
le long de ses frontières avec la Belgique, le Luxembourg, l’Allemagne, la Suisse et l’Italie.
Du 3 novembre 1929 au 17 février 1930, il a obtenu le vote en décembre 1929 pour la loi permettant le financement des régions fortifiées. En fait, les gouvernements et l’état-major ne sont plus vraiment enclins à entreprendre des opérations militaires actives. Il est donc préférable d’opter pour un positionnement statique, tandis qu’une armée de manœuvre est en désaccord avec les nouvelles positions diplomatiques de la France.
Même si elles ont été utilisées pendant les combats de mai-juin 1940, ces fortifications n’ont pas empêché la défaite de la France.
tellement que l’expression « ligne Maginot » est devenu synonyme d’une défense que l’on pense infranchissable, mais qui se montre inefficace.
Après la guerre, l’occupant allemand réutilise partiellement les livres, en particulier pendant les combats de 1944-1945,
et les remet en état au début de la guerre froide. Les éléments importants ont été abandonnés,
à l’exception de quelques éléments préservés par des associations.
À l’époque, l’armée française désignait officiellement la « fortification permanente » ou les « régions fortifiées ».
La presse est à l’origine du terme « ligne Maginot ».
À partir de 1935, où commence-t-il à être employé ?
Repris par le ministre de la Guerre Jean Fabry en août 1935, lors de l’inauguration du monument Maginot près de Verdun.